dimanche 26 avril 2020

Rust in peace

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Il fut un temps, lointain, où dans le petit univers du métal, quelques groupes de trash dominait le monde, Metallica en tête. Et Megadeth était juste derrière. Bon, j'ai jamais été un gros fan du groupe et puis faut s'accrocher avec la voix de canard de Mustaine. Mais la période début des années 90, avec les albums Rust in peace et Countdown to extinction, a quand même permis au groupe de balancer quelques très bons morceaux, dont ce Take no prisoner.



Rust, la rouille. Aujourd'hui, on cause décors post-apo (et pas seulement...). 
Les décors sont souvent les parents pauvres du hobby. Ils sont délaissés par les joueurs. Or, je trouve ça vraiment dommage de voir, au fil du Net, des rapports de bataille ou des sujets avec des figurines superbes sur des tables merdiques... un simple tapis vert et trois pauvres décors. Ou encore, un tapis hivernal avec posé dessus des palmiers... Bref, les décors, c'est cool, ça permet une immersion dans le jeu et jouer sur une belle table, c'est que du bonheur ( Carnaval de Venise ! ).
Sur ma lancée du gros cercle de pierre de l'article précédent, j'ai fait péter la boîte à rabiots, le cutter, les colles, la carte plastique. Et c'était parti pour pas moins de trois scénettes faites à partir de matos de récupération divers et variés... DIY style, quand tu nous tiens !
Le premier décor représente une petite aire de stockage de produits dangereux qui malgré les risques encourus attirent les pillards et autres stalkers post-apo...
On y va dans le détail, car oui, toi aussi tu peux réaliser ce genre de choses. 
La base est un plaque de contreplaqué. Je viens coller dessus, pour le support sur lequel sont posés les "conteneurs" / citernes, des tiges qui sont en fait taillés dans les grappes plastique de figurines ou de simples baguettes de bois. On en colle deux longues sur la longueur de la plaque et par-dessus deux courtes pour caler les récipients. 


Parlons-en des "conteneurs". Vous avez reconnu ? Oui, ce sont bien des œufs Kinder. Pas le chocolat, hein, mais le petit récipient contenant le jouet merdique. C'était Pâques y'a pas longtemps, t'as bien un gamin à taxer dans ton entourage. On colle les œufs sur le support. Pour faire joli, j'ai rajouté une chaîne cassée. Elle devait, à l'origine, retenir les bidons... enfin, on imagine.



Pour le reste du décor, on a un peu de carte plastique taillée en rectangle pour faire un panneau de signalisation et un petit récipient contenant un célèbre médicament qui représente une sorte de... beeeen, bidon ? La pelle et le pioche viennent de rabiot d'une boîte de militaires (du Bolt Action).
Une fois le tout monté et bien collé, on sous-couche. Les plus chanceux / rapides balanceront ensuite les couleurs de base à l'aérographe. Mais, c'est faisable au pinceau (c'est ce que j'ai fait n'ayant plus de nettoyant pour la machine...). Le sol est peint avec un gris foncé qui reçoit ensuite un gros lavis noir. Les conteneurs sont recouverts en partie d'un mélange de orange / différents marrons pour commencer la texture rouille. 


Une fois peints, nos conteneurs reçoivent les décalcos et autres autocollants. J'ai notamment mis la main lors d'une de mes commandes chez Hasslefree de deux planches d'autocollants signalant différents dangers ( Les panneaux ! Les panneaux ! ). Oui, des autocollants, comme les Panini (après Kinder, on reste dans l'univers merveilleux des petits n'enfants). Tu les retires de la planche et les collent direct sur ton décor. J'ai donc mis un symbole radioactif biohazard sur un des bidons. Et le panneau au sol accueille quand à lui un guard dog avec un joli profil de chien-loup...  Ensuite, l'ensemble reçoit un lavis d'Agrax Earthshade (ou équivalent) pour lier et les couleurs et donner un peu de profondeur (chaîne comprise). Même combat ou presque avec le tube posé devant les réservoirs. Il est peint en jaune, un peu d'effet rouille, un lavis marron pour finir ou presque...


On retravaille la texture "rouille" en venant tapoter (au pinceau ou à la mousse de blister) du orange, un marron clair voire un produit texturant comme celui proposé par MIG (celui-ci, par exemple Rouille espagnole mais y'a d'autres choses très intéressantes, suffit de fouiller). Je rajoute ensuite plusieurs lavis vert clair sur la base du réservoir central pour simuler l'écoulement d'un produit radioactif. On brosse légèrement à la peinture métallique les parties que l'on souhaite faire ressortir, pour ma part les poutres à la base et le capuchon du tube. 
Ce qui nous donne au final...






Et on enchaîne avec un autre décor post-apo. On est dans le même esprit qu'au-dessus niveau recyclage... On a donc une base constitué par... et bien, une plaque en plastique dur dont je serais bien incapable de donner la provenance... On a ensuite de la petite bagnole type Majorette. Ici c'est une Alfa Roméo qui a été massacrée. Les différentes plaques posées sur la voiture sont soit de la carte plastique soit des "chutes" de kits de modélisme militaire. Et notre ami de droite, le gros réservoir est... un pot de gel pour cheveux. Afin que la peinture tienne bien sur ce gros pot bien lisse, j'ai au préalable balancer dessus de la colle en bombe (vive la reine d’Égypte !). Une fois le tout bien sec, sous-couche et c'est parti pour la mise en peinture.







Comme pour le précédent, on peut travailler au pinceau. Mais je conseille fortement de commencer par le pot/réservoir en le traitant à la bombe ou à l'aéro vu la surface... On pose donc les couleurs base et on vieillit la bagnole et les plaques comme pour le précédent décor. Le réservoir à lui le droit à un traitement spécial. Je commence par une base blanche. Ensuite, je colle/pose autocollant et décalcos et j'en profite pour casser l'uniformité de peindre une bande bleue verticale. Puis on enchaîne avec un bon gros lavis gris puis un marron pour vieillir / salir l'ensemble. Une fois cette étape faite et le tout sec, on continue le vieillissement avec un effet humide dans les creux et quelques coulures, on tapote du orange, du marron et du produit rouille pour... la rouille. Je fais aussi deux petits free-hand pour donner un peu de vie à l'ensemble comme si des survivants étaient venus taguer la citerne d'un "A" anarchiste  et d'un dessin kawaï, Radis-Action, le symbole d'un groupe de stalkers (je sais c'est nul mais j'assume !). Le sol est peint en gris puis lavis noir. Les bords sont repassés en noir pour finir.
Et voilà !






Et évidemment, les deux vont ensemble.



Troisième décor, on change totalement d'univers. Direction le med-fan. Et là, y'a pas plus simplissime comme décor... La base est constituée par morceau de plaque de contreplaqué. Je colle dessus des... bambous découpés ! Une petite image vaut mieux qu'un grand discours.


Donc, tu découpes de différentes tailles tes bambous comme sur l'image du dessus. C'est important de bien couper afin de ne pas se retrouver avec un bambou creux (cela dit, j'en reparlerai, ça peut servir ;-) ). Tu obtiens ainsi des piliers dont tu peux faire ce que tu veux ou presque... comme des troncs d'arbres, des champignons ou, comme moi, des rochers bizarroïdes mais comme c'est du med-fan, j'ai le droit ! On colle ensuite les bambous sur la base. On balance du sable sur le socle et le haut des bambous, et vlan, sous-couche. Ensuite la peinture en mode rapide avec différentes gris peints dans le frais avec du foncé en bas et du clair en haut (d'ailleurs, le pilier central a été repris). Une fois les piliers peints, on colle de l'herbe statique sur le socle et le haut des piliers, quelques fleurs. Et voilà, le travail ! Un petit décor rigolo pour du chibi comme Super Dungeon Explore ou Ninja All Star mais qui peut aussi meubler une table "naturelle" en med-fan classique.




C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

vendredi 24 avril 2020

On fait avec ce que l'on a !

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Quand tu es coincé à la maison, tu as le temps d'écouter de la musique. Beaucoup. Et de découvrir des groupes qui étaient passés sous tes radars auditifs (vous y aurez droit dans les prochains articles, promis). C'est le cas des Belges de Spoil Engine avec un titre, the hallow, issu de leur dernier album, Renaissance noire. Ils nous balancent un métalcore assez mélodique boosté aux refrains efficaces.



Vu que j'ai du temps en rab', j'ai décidé de m'atteler à certains travaux que je n'avais que trop repoussé... notamment, le "remise à niveau" de l'ensemble du matos de Super Dungeon Explore. Par remise à niveau, j'entends reprendre TOUTES les figurines pour réparer les endroits où la peinture a morflé, reprendre les bords des socles en noir pour avoir des finitions propres et passer cette joyeuse troupe au vernis ! C'est long et chiant, on va pas se mentir. Bref, mine de rien, c'est plusieurs heures de taf. Et voilà le résultat, avec une photo de groupe sur l'établi une fois tout fini. On a onze figurines de héros, trois gros monstres, sept créatures moyennes, une bonne cinquantaine de petites, presque une dizaine de totems et manquent sur la photo quelques coffres. Soit autour de 90 figurines...



On passe ensuite à la partie "DIY". J'ai confectionné un décor simple, un portail d'invocation / pierre runique rituelle. Il servira dans des parties de à peu près n'importe quel jeu med-fan comme SAGA Age de la magie. Vu sa taille, il fait presque une bonne pièce centrale et des scénarios sont imaginables à partir de sa présence sur la table...
Niveau technique, le cercle lui-même est réalisé en polystyrène extrudé découpé vaguement en rond à l'extérieur avec une base droite pour faciliter le collage. Pour le centre, j'ai utilisé une... boîte de conserve comme gabarit. On pose la boite sur le polystyrène (côté ouverture, hein, pas le fond !), et on fait le bourrin, PAF, quelques coups de marteau et on obtient une coupe relativement nette. Un coup tout en légèreté (Vraiment ! Il n'y a pas d'ironie dans cette phrase) de papier à poncer pour lisser la pierre. Je fixe ensuite l'anneau sur un grand socle en même temps que le sable pour le sol. Séchage obligatoire... Ensuite, on passe à la peinture au pinceau ou à l'aéro (bannissez les bombes, le poly aime pas l'aérosol) de différents gris, de plus en plus clairs vers le haut ( pur le dire simplement, peinture grossière dans le frais). En bas et dans les creux, j'ai posé un produit MIG pour simuler l'humidité ( https://migproductions.com/product/wet-effects-75ml/ ). Cela dit, un lavis verdâtre doit aussi faire l'affaire. Là, j'ai fait une erreur, je n'ai pas assez attendu avant que ça sèche avant de coller mon herbe statique. Du coup, y'en a un peu trop sur la pierre mais bon, au final, c'est pas choquant. Les runes sont tracées en bleu foncé, puis en bleu très clair au centre puis un trait blanc. La réalisation de ce décor, hors séchage (long mais à respecter pour la "propreté"), c'est max une heure de boulot. Et voici le rendu sur la table de jeu.



Et pour bien se rendre compte de la taille, je vous mets à côté deux Chevaliers chaotiques à la sauce Khorne, cavaliers issus de la boîte Seigneurs de guerre dont je causais dans mon précédent article. Ben, oui, on vide les stocks, hein !



D'autres décors sont en préparation, j'en reparlerai si le rendu final est satisfaisant...
Et pour finir, une petite vue plus rapprochée des deux fans de Jeanne Mas à canassons...


Inlassablement, la montagne de plasticométalicorésine recule !

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

mercredi 15 avril 2020

Ogres & Trolls

Salut à toi, Compañero figuriniste !

En ouverture, on s'offre une vieillerie avec Born dead de Body Count. Le genre de trucs que j'écoutais (beaucoup...) plus jeune... et faut reconnaître que c'est toujours aussi bon !


Donc, oui, on fait dans la nostalgie et les (très) vieux machins pour le billet d'aujourd'hui. En commençant par du Seigneurs de guerre. 1992... quand même !


Je suppose que certains quadras comme moi ont encore la boîte à la maison (grenier.., fond d'une armoire...). Au fil des années, j'ai peint quelques (rares) figs sur la centaine que contient la boîte. Et comme cette période de confinement est propice à la fonte accélérée de la montagne de plastique... ce sont des ogres qui ont reçu leur dose de couleurs. Rien de fou fou, hein ! L'un est un "khorneux" rouge-noir-rouille et son copain, plus propre sur lui, est plutôt un adepte de Tzeentch en jaune-bleu. Comme quoi, en variant les couleurs...


J'enchaîne avec du Super Dungeon Explore... moins vieux mais 2011 quand même, il me semble.
  
 

J'ai peint la boîte de base il y a un bail et le jeu sort à la maison de temps à autre car mes gamines aiment bien l'univers chibi et coloré, les tronches impayables des monstres etc. D'ailleurs pas plus tard qu'avant-hier (photos beuk car prise avec mon téléphone de vieux qui n'est donc pas une machine de guerre...).






J'ai adapté/simplifié les règles (car celles d'origine sont pas franchement géniales, je trouve...). Du coup, j'ai, peu à peu, agrandi la collec' avec notamment la boîte Mistmourn Coast (Côte de Pleurbrumes in french) qui contient des trolls. Trois de ces charmants sacripants sont passés sous les pinceaux. On trouve les deux Spirit walkers peint à la "Carlos Blanka" (encore une fois, les vieux comprendront !) et un Warrior pour lequel j'ai repris le schéma de couleurs de celui que j'avais peint il y a un an : Oooh, du chibi !





Allez, à plus tard pour un nouveau coup porté à la montage de plastique !


C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

samedi 11 avril 2020

Fond de tiroir

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Quand tu es confiné, tu as le temps d'écouter beaucoup de musique. J'ai notamment jeter une oreille intéressée sur les groupes qui avaient été programmés en fin d'année dernière dans un festival stoner en banlieue bordelaise ( https://whatsinthewoods.wixsite.com/fest ). Et dans le tas, il y a de bonnes choses. De très bonnes même comme l'ouverture musicale du jour le groupe lyonnais Wizard must die et le titre Odyssey, extrait de leur premier album, In the land of the dead turtles dont je ne peux que vous conseiller l'écoute si vous êtes amateur du genre ou de bon rock tout court.




Confinement obligé donc, j'ai le bonheur de pouvoir peindre. Je dis bonheur car, oui, je pense à tous ceux qui sont obligés d'aller travailler pour nous permettre de nous nourrir, éclairer etc etc... et bien évidemment, au personnel soignant et notre hôpital public qu'il ne faudra pas oublier une fois la "crise" passée...
Revenons aux pitoux.
Donc, je peins. Et je m'attaque à des "trucs" qui traînaient dans les tiroirs, cartons et autres boîtes depuis des lustres... c'est par exemple le cas de la figurine ci-dessous. Sur une base de Sigmarite, j'ai obtenu avec quelques découpages/ajouts un paladin/Prince Elfe pour mon armée SAGA Age de la Magie ou pour tout autre jeu med-fan d'ailleurs. Schéma blanc-violet avec quelques touches de jaune.



Qui dit palouf, dit des méchants morts-vivants à talocher ! Parmi mes vieilleries, j'ai un très vieux jeu MB (c'est dire...) de Dungeons&Dragons. Il contient des figs plastique et monobloc qui malgré leur âge restent plutôt rigolotes et sympas. J'avais même commencé à peindre certaines d'entre elles il y a... 4 ans : http://hastalafigurinasiempre.blogspot.com/2016/07/histoire-dos-de-chant-et-de-foi.html .


Du coup, j'ai continué... Comme quoi, faut pas désespérer ! Et voici cinq squelettes. C'est de la barbouille rapide, histoire d'avoir les pitoux coloriés en cas de partie improvisée. On est jamais trop prudent !


Et pour finir, un peu d'Infinity quand même ! Le bureau Aegis, forum français dédié au jeu, organise un petit concours de peinture http://www.bureau-aegis.org/forum/index.php?topic=15465.0 . Sauf que je n'avais plus de fig Nomads ou Ariadna, mes deux armées de cœur, à peindre. J'ai donc opté pour le sniper de PanOcéanie, Richard Quinn, issu de la boîte Dire Foes 9. C'est ma première fig de cette faction et je ne sais pas trop ce que je vais en faire maintenant 😂 !


Voilà, c'est éclectique et la suite devrait l'être encore. Je ne passe pas de commande vu la situation actuelle et poursuis la peinture de mes réserves. J'ai encore du Dungeons&Dragons, du Seigneur de guerre pour poursuivre dans les vieilleries, quelques Space Wolves qui pourraient aller courir dans les sombres couloirs d'un Space Hulk, un autre palouf...

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

vendredi 3 avril 2020

Le rôdeur, la jeune fille et le robot

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Je ne suis, en général, pas trop fan du punk hardcore même si j'aime bien des groupes comme Iron Reagan ou Municipal Waste mais ces groupes font plus du crossover trash. T'as rien pigé ? Pas grave, dis-toi que ça joue vite, ça tape fort, ça gueule et que c'est potache et irrévérencieux... pour le moins... bref, les Néerlandais de Vitamin X viennent mettre le souk dans ton salon avec About to crack (rien à voir avec le confinement, quoique...) et son excellentissime clip bien con et truffé de références...



Aujourd'hui, un trio comme tu pouvais t'en douter vu le titre !
Le premier de cordée est donc notre rôdeur. C'est, ô surprise, une fig issue de la gamme modern warriors de chez Hasslefree où l'on peut commander des corps avec différentes options d'armes et sans tête. Ce qui permet de facilement personnaliser une fig. La tête du mien provient de chez Anvil Industrie. Et ça nous fait un parfait stalker post-apo avec fusil à pompe, masque à gaz et sac à dos. Petit plus, je peux même le recycler pour faire un SAS à Infinity pour mes Calédoniens.
Pour le schéma de couleurs, on fait classique avec du noir / vert très militaire.






Arrive ensuite la jeune fille. Enfin, façon de parler ! C'est une solide guerrière et une des dernières sorties de chez Corvus Belli pour Infinity. Elle est sensée représenter une "spec-ops" (special operavite). Mais comme toujours, dans la gamme et le jeu, elle peut aussi représenter d'autres profils, notamment pour ma secto calédonienne, une SAS des 1st highlanders ou une Volunteer. Et à l'image du copain d'au-dessus, elle peut être aussi utilisée pour du post-apo.
La peinture fut un réel plaisir. On est sur les standards de la marque espagnole, c'est fin (la tête en particulier, visage, coiffure...), c'est beau et le personnage a un sacré charisme. Pour le schéma, même combat que la première fig, cuir noir et vert militaire pour les fringues.












Et on finit par Nono le p'tit robot, c'est à dire l'Homme-Creux pour la sectorielle Tunguska des Nomads à Infinity. Il vient conclure la peinture du starter de la sectorielle suscitée. C'était la fig qui me plaisait le moins. Alors au début, je me suis forcé à l'attaquer. Et puis, bon, beeeen... elle est cool en fait. Le concept du robot d'assaut téléguidé surarmé pour une faction aussi avancée technologiquement que les Nomads, ça colle bien au background.
Pour le schéma de couleurs, je suis bien évidemment resté sur celui des figs précédentes, orange/noir mais en insistant sur le orange. J'ai laissé le "visage" en blanc, ça attire l’œil. Seul bémol, les photos surexposées qui mangent un peu les contrastes, plus appuyés en particulier sur le orange.
















J'ai oublié de faire une photo de famille de ces Nomads... j'essaierai de pallier à ce manque à l'occasion d'un prochain article.

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !