jeudi 30 juin 2016

Un sushi éclairé

Salut à toi, compañero figuriniste !

Premier billet de l'été. Donc, musique pour commencer histoire de ne pas trop te dépayser... ouais, encore un truc de vieux.


Aujourd'hui, exceptionnellement, nous n'allons pas causer de figurines... ou presque. Partons vers d'autres horizons ludiques afin de comprendre le titre du billet.
Je commence par la présentation d'un petit jeu tout mignon et sympa, parfait pour les petits n'enfants... oui, toi, vieux roublard du lancer de dés, vétéran de mille guerres ludiques, joueur antédiluvien, puits de sciences rôlistique, oui, toi, le Pelé du jeu de cartes, le Beethov' du jeu de plateau, ce jeu ne t'es pas vraiment destiné. Non, Sushi go !, car tel est son nom, est typiquement un "petit" jeu parfaitement adapté aux jeunes joueurs et aux occasionnels. Encore que, les geeks ludiques y trouveront peut-être leur bonheur comme jeu d'apéro rapide et fun...

La boîte du jeu et quelques cartes d'ingrédients en bas desquelles ont distingue les combinaisons / points.

De quoi cause-t-on ? D'un jeu simple de "draft" pour 2 à 5 joueurs. Le principe est simple. Chaque joueur débute la partie avec un nombre égal de cartes (10 à deux, 9 à trois...) en sélectionne une, la pose face cachée devant lui, et hop !, on retourne et on fait passer les cartes restantes à son voisin. On répète l'opération jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de cartes en circulation. Le but est de créer des combinaisons. Par exemple, en fin de manche, le joueur ayant le plus grand nombre de maki marque 6 points, le second trois et les autres nada...  La partie se déroule en trois manches. Le joueur ayant le plus de points a gagné. Enfin, pour pimenter (ah ah...) la partie, il y a quelques cartes spéciales comme le wasabi qui permet de tripler la valeur d'une carte sushi.
Voilà, mécanique simple, explicable en deux minutes, un jeu rapide et fun. Mes gamines (6 et 9 ans) ont bien assimilé le bazar et le jeu est souvent de sortie actuellement. Évidemment, je me fais battre relativement souvent et à la régulière. Les gosses sont sans pitié...

D'ailleurs, au rayon "je joue avec mes gosses", j'ai acquis la boîte d'initiation du jeu de rôle Pathfinder (et là, tu viens de piger le tire de l'article... ou pas) qui est une adaptation de la mécanique d'AD&D (que certains d'entre nous, comme moi, ont côtoyé en jeu vidéo avec les inoubliables Baldur's Gate, Nerverwinter Nights ou encore Icewind Dale...). Pourquoi ? Simplement parce que la plus grande de mes deux gamines a bien aimé Super Dungeon Explore et Frostgrave et veux jouer avec moi (enfin, surtout avec des dés - toujours dans les bons coups, Dédé ><... - et des figurines). Ces deux jeux sont sympas mais le cadre est au final assez réduit. Alors bon, poutrer du kobold ou du squelette, les gosses ils aiment bien, hein, faut pas se leurrer. Une bonne vieille boule de feu, ça fait toujours son effet. Ouais, oublier le cliché des gentilles princesses à moitié niaises, une magicienne au sale caractère qui envoie du steak, ça parle aussi aux petites filles... bref, revenons au sujet. Je voulais un jeu qui ne soit pas de la baston pure. Mais pas un "vrai" JdR car c'est un peu trop ardu pour des gamins. Du coup, la boite de Pathfinder permet de couper le gobelin en deux. En effet, la mécanique n'est pas trop complexe et il y a évidemment un système de combat mais comme tout jeu de rôle qui se respecte, il permet plein d'autres actions que celles liées à la marave. Les joueurs peuvent discuter avec d'autres personnages, résoudre des énigmes, se cacher, lancer des sorts, crocheter des portes, voler des objets etc. j'en passe...
Ancien rôliste (Shadowrun, Guildes, INSMV, Star Wars...), j'ai du faire ma dernière partie y'a bien... pffff ! 20 ans !!! Honnêtement, si j'avais choisi de me remettre au JdR, je n'aurai certainement pas choisi Pathfinder. J'aurai vraisemblablement opté pour un jeu un peu plus original... Mais là, l'objectif est tout autre, du coup, le côté très "généraliste" limite fourre-tout méd-fan, le monde étendu, les larges possibilités d'aventures (contrairement à Frostgrave par exemple) et la qualité du matos (et les trèèèès nombreuses extensions facilement trouvables) ont emporté le morceau.

Une bonne grosse boîte bien remplie !

Le jeu possède une boîte d'initiation qui correspondait bien à ce que je cherchais. Elle est bien remplie avec un livre pour le Maître de Jeu, un pour les joueurs, des fiches de personnages prêtes et d'autre vierges, une carte à damiers recto-verso, des dés et des silhouettes en cartons des héros et des "méchants". Tu l'auras compris, ami figuriniste, les silhouettes seront remplacées dés que possible par de vraies figurines ! Je vous tiendrai au courant des évolutions de l'affaire avec un billet lors de la première partie ;-) .

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

dimanche 19 juin 2016

Nouvelle espèce

Salut à toi, compañero figuriniste !

La petite ouverture musicale et métallique habituelle (en plus on est en plein Hellfest, impossible d'y échapper !). Aujourd'hui, on tape donc dans du futuriste avec Fear Factory et nous allons faire la connaissance d'une nouvelle espèce...
 

Retour à Infinity et plus précisément aux joyeux et déjantés anars Nomads à l'improbable schéma sauce Ikéa. Je possède déjà largement de quoi jouer en 300 points pour cette faction mais faut bien trouver des justifications pour acheter des nouvelles figurines... donc, j'ai voulu rajouter quelques nouvelles "entrées" potentielles à mon armée, notamment un Spektr (troupe camouflée et infiltrée dans les lignes adverses pouvant servir de hacker, d'observateur avancé etc), un Zéro (en gros même combat que le précédent), un Tomcat (de la troupe aéroportée pouvant être ingénier, toubib...) ou une Riot Girl (de l'infanterie lourde féminine avec une puissance de feu conséquente). Comme il est quasiment impossible d'avoir à Infinity une fig pour un profil, on joue assez fréquemment avec des "proxies". Et comme par hasard (tu parles...) j'avais repéré depuis un bail des figs bien sympas et pouvant être utilisée dans cette optique de "proxies" chez... Hasslefree, évidemment !

Allez, photos !

Une Riot Grrl ou un Spektr hacker... à moins que ce ne soit une Tomcat et un Zéro...

Les mêmes mais avec une lumière différente. La vérité chromatique n'est pas ailleurs mais globalement entre les deux rendus des photos.

De dos pour prouver que je ne peins pas que le devant des figs...

Petite mise en situation, notre duo infernal en action devant un immeuble délabré.

Sur le toit dudit immeuble, la vue est meilleure.
C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

mercredi 15 juin 2016

Berserker !

Salut à toi, compañero figuriniste !

Aujourd'hui, on fait dans la finesse. Ouverture musicale avec un groupe que j'aime mais alors beaucoup beaucoup, Mantar, premier morceau de la vidéo, the berserker's path... le ton est donné !


Continuons avec la minute culturelle... Dans la civilisation nordique (on va dire viking...), le berserk - ou berserker -  désigne un "guerrier-fauve", car habillé de peau de bête, en général d'ours ou de loup, le léopard et le dahu étant plus rares sous ces latitudes septentrionales. Ces charmants garçons avaient la réputation d'entrer dans une sorte de "fureur sacrée" inspirée par les dieux du panthéon nordique, Thor et Odin en tête, bien connus pour être des amateurs de dentelle rose et de petits chatons aux grands yeux... Bref et en gros, ils entraient dans une sorte de transe guerrière. L'explication la plus plausible est que ces soldats étaient en fait très entraînés, maîtrisant parfaitement les techniques de combat et ne prenaient que peu en compte leur propre sécurité au combat. Cette situation, enjolivée et probablement exagérée à la fois par les scaldes (les "troubadours" nordiques) mais aussi leurs adversaires (c'est toujours mieux de dire qu'on a pris une bonne raclée contre des gros bestiaux que contre des tanches...), a eu tôt fait de bâtir la réputation quasi-légendaire de ces combattants. Il est à noter que l'historiographie actuelle se pose la question de savoir si cette transe guerrière n'était pas provoquée par la prise de produits psychotropes, des champignons hallucinogènes ou des liqueurs à base de fruits fermentés. De même, ces guerriers, dont les rangs étaient probablement composés de vétérans, comptaient peut-être parmi eux une certaine proportion de psychopathes/sociopathes frappés de traumatismes mentaux plus ou moins graves provoqués par le stress et l'expérience des combats.

Au final, la figure du berserk - plus ou moins - barbare est devenu assez populaire dans le milieu du jeu de rôle, la littérature fantastique ou les jeux de figurines. On en trouve moult déclinaisons comme, par exemple, les Tueurs Nains de chez GW.

Ooooooooooold schooooooooooooool !!!!
Bien, assez causé Histoire, passons aux pitoux et à la livraison du jour, un berserker barbare, vous l'aurez compris ! La fig est - encore une fois ! - de chez Hasslefree. Et c'est une pu*** de tuerie ! Elle est absolument géniale, sobre, parfaitement sculptée, dynamique, pleine de caractère. Je suis parti sur un schéma assez simple. Comme le gars se trimballe torse poil pour faire péter les pectoraux et aguicher la gueuse, le haut du corps allait donc être couleur chair et relativement clair. Du coup, j'ai opté pour du sombre pour le bas, pantalon bleu et fourrure noire. Noir repris pour la couleur de la crête. Pas de tatouages, pas eu le courage... pour le socle, un sol de graviers et un os (issu d'une pelote de réjection de chouette) car, dans mon esprit, j'imagine notre barbare en train de charger une grosse bestiole dans sa propre caverne, avec, au sol, les reste d'un des repas de la créature.
On passe aux photos :
De face, une bonne tête de vainqueur !

Beeeeeeuuuuaaaaarr !!!!

De dos, on note au passage la maîtrise de la sculpture, notamment de la morphologie humaine, de K. Adams.

Un gros plan pour bien voir tous les défauts ;-) ! Ce qui permet de remarquer un léger raté au niveau du rasage à l'arrière de la tête... à reprendre...
Cette fig rejoint la - déjà très nombreuse - colonie de Barbares/Vikings en ma possession et sera sûrement utilisée pour Frostgrave (étonnant, non ?).

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

dimanche 12 juin 2016

L'appel de la forêt

Salut à toi, compañero figuriniste !

Aujourd'hui, on va voir des Elfes, alors on commence avec un peu de musique d'Elfes... si si, regardez la couverture de l'album, des Elfes des bois, vous-dis je !



Je continue donc à vider mes stocks de "vieilles" figs, comprendre des pitoux qui trainent dans mes placards/boîtes/mallettes depuis une durée plus ou moins longue et en me concentrant actuellement sur Frostgrave et SAGA. En théorie, j'ai de quoi peindre pendant un petit moment... Donc, pas d'achat prévu avant un bail sauf grosse occase ou des décors (dont je manque...). Frostgrave présente l'avantage d'être assez générique pour permettre d'aligner à peu près n'importe quelle référence méd-fan quitte à créer un ou deux profils. Du coup, en piochant dans mon merd... stock, j'ai trouvé de quoi monter une nouvelle bande avec comme magicienne une Elfe sylvain (sylvaine ?) de chez Games Workshop et une énième fig de chez Hasslefree (oui, je ne m'en lasse pas). C'est à la base une version de Boudicca, la mythique reine celto-bretonne antique ayant poutré les Romains avant que l'Angleterre ne devienne la Perfide Albion et que les légions lui expliquent la vie à coups de pilum dans le sternum que la reine avait moins solide que les armes romaines (référence inside, comprenne qui pourra !). Bref, elle fera une très bonne apprentie ! A la base, la fig possède une lance mais elle est fragile et je peux avoir un côté bourrin... résultat, le haut de l'arme s'est pété (oui, bon, d'accord, pas toute seule, je l'ai un peu aidée...). Et Boudicca se retrouve avec un bâton. C'est pas plus mal pour une mage apprentie...
Alors certes, elles sont pas franchement vêtues pour affronter des températures dignes de l'Überwald lors de la Nuit du Porcher (référence inside le retour, comprenne qui pourra ! Si vous avez fait le doublé, vous êtes incontestablement un(e) homme/femme de culture !) mais bon, est-ce vraiment important ?
Je me suis pas trop embêté sur ces deux figs, c'est du rapide (mais appliqué, hein !). Pas de détails genre tatouages ou motifs sur les tissus. J'ai été à l'essentiel et le ratio temps passé / rendu est trèèès acceptable ! Schéma classique mais efficace à base de différents tons de verts (pour les vêtements) et du marron clair/jaune/orange (bois, or, cuir, cheveux) pour conserver une certaine cohérence.
On y va pour trois petites photos (les seules potables sur une bonne douzaine) :

"Cyraliiinaaaa taaaalaaatëëëë !!!!"... t'as compris, petite ?

La même sous un autre angle...

Petite mise en situation face au guerrier de Slaanesh peint il y a quelques temps...
Et voilà, deux unités de plus pour le compteur à pitoux !

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

vendredi 10 juin 2016

Banc d'essai - les lavis Coat d'Arms

Salut à toi, compañero figuriniste !

Aujourd'hui, on teste. A commencer par ton audition, cher visiteur !


Lors d'une commande passée chez Hasslefree, j'avais rajouté à mon panier des lavis de chez Coat d'Arms, histoire d'aller voir ailleurs que chez GW. Notez que je n'ai rien contre les lavis GW. J'en utilise un paquet et j'en apprécie la plupart. Mais je me dis qu'élargir sa palette est toujours utile ! J'ai tapé dans du classique, un noir (Ink Wash) et un marron (Light Brown).

Usual suspects...
On ouvre les pots. Première constatation, ces lavis sont bien épais, moins dilués que, par exemple, ceux de GW précédemment cités.

Encre de sèche et Cacolac ?
Bon, voyons ce qu'ils donnent...
Pour cela, il me fallait une fig avec beaucoup de métaux (pour le lavis noir) et du bois/fourrures/cuir (pour le marron). N'ayant rien de convenable sous la main, j'ai tapé dans la boîte à rabiots, principalement dans du Space Wolves, et bricolé une sorte de paladin, ça pourra toujours servir pour des jeux med-fan...
Montage, pose des bases rapido. Et hop, j'envoie les lavis pour ombrer l'ensemble. J'y ai été comme un sagouin, sans aucune finesse... résultat en photos comparatives, c'est plus parlant qu'un long discours.




Le verdict ? Ces lavis font le boulot, sans aucun doute. Ils sont de bonne qualité. Par contre, faut vraiment s'habituer à leur texture épaisse et bien les étaler, à moins de vouloir vraiment charger une zone. Attention aussi au temps de séchage, assez rapide !
Bref, je recommande.

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

samedi 4 juin 2016

Je suis une légende...

Salut à toi, compañero figuriniste !

Pour le billet d'aujourd'hui, un peu de SAGA. Ben oui, faut dire que ça manquait hein...
Allez, guitare, avec un titre de païen pour coller à la livraison du jour... ok, c'est une vieillerie mais ça envoie du bon !



Il y a quelques temps, en compagnie de l'ami Caillou (dont je vous recommande le blog, le garçon a de l'or dans les doigts http://studiocaillou.blogspot.fr/ la bise, copaing ! ), nous avons passer une commande chez Hasslefree, dont vous n'êtes pas sans savoir que je suis fan. J'en ai donc profité pour rapatrié d'Outre-Manche une figurine (enfin, plus mais là aujourd'hui y'en a qu'une qui nous intéresse) sur laquelle je lorgnais depuis sa sortie en résine. Là, elle était dispo en métal. Alors, hop, commande !

Voici Ulfred le Viking, inspiré par le personnage principal de la série TV Viking (que je n'ai jamais vu...) Ragnar Lothbrok, roi et aventurier suédois plus ou moins légendaire. Reconnaissons tout de même qu'il fait un parfait Seigneur pour ma bande de Jomsvikings !
Et comme c'est un patron, il faut un grand socle un peu scénique. Toujours avec le Caillou (décidément...), nous avons mis la main (lui surtout en fait) sur un lot de Brito-Romains et Saxons de chez Footsore Miniatures ( https://footsoreminiatures.co.uk/ là aussi, va chercher bonheur...). Je me suis greffé à l'affaire récupérant les Saxons (pour jouer du SAGA arthurien, la règle est annoncée mais toujours pas de date de sortie). En plus des Saxons, il y avait aussi une fig de Merlin.



Et là, je me dis, "rôôôh, il ferait un bon conseiller, une sorte de shaman, voire une sorte d'incarnation d'Odin, celui-ci... ". Bref, j'avais mes deux figs pour réaliser le socle de commandement de mes Joms. Reste plus qu'à se mettre au boulot.
La compo fut assez simple à déterminer. Ragnar devant, le vieux derrière semblant lui causer, donnant des conseils, en arrière-plan. J'ai commencé par coller des bouts d'ardoise sur le socle. Ensuite, je pose le socle de Ragnar et je rajoute un peu de plâtre de lissage et de sable pour lier l'ensemble (socle et différentes plaques d'ardoise) afin d'avoir une zone relativement plane au centre.  Séchage et hop sous-couche. La peinture fut simpliste. Base de Dheneb Stone de chez GW, lavis noir, brossage à sec de la couleur de base, brossage à sec de blanc cassé (du Blanc Ivoire de chez PA). Colle, herbe statique, deux points de glu pour les fleurs. Allez, roulez jeunesse. Résultat en photo :




Je peins ensuite à part le vieux puis Ragnar. Bon, je vous passe toutes étapes, si y'a des détails qui vous intéressent, pas de souci, laissez un commentaire, j''y répondrais avec plaisir.
On finit donc avec une grosse rafale de photo pour voir le résultat fina (moins le bord du socle peint en noir, ça a été fait après).





Et pour finir, deux gros plans des deux protagonistes. De bien près, pour voir tous les détails qui vont pas ;-) !




Petite info pour finir l'article d'aujourd'hui, le blog a dépassé les 7000 vues. Merci aux visiteurs réguliers, aux occasionnels et à ceux qui se sont retrouvés là par hasard ! Allez, à 10 000, on se fait un p'tit concours ;-) !
C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !