mardi 30 juin 2020

Ne pas oublier le roi !

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Ahab est allemand. Enfin, sont. Ahab fait du doom. Comme c'est du doom, tu frôles la dépression. Mais c'est surpuissant, lourd, envoûtant et casseur de cervicales... bref, c'est bon. Et sans surprise, Ahab aime l'océan et les grosses bestioles qui le peuplent. Pourquoi écouter ce pavé en entrée ? Aucune en particulier, mais ça, tu commences à en avoir l'habitude, hein...


Loin de l'océan, une POM a été lancé (il n'y a pas eu de blessé, je vous rassure) par La Queue En Airain sur Warmania : viens croquer la POM


Une POM ? Prise en otage mutuelle... où tu fais la promesse (stupide... c'est un peu le principe d'un mariage) de peindre des figs dans un temps imparti. T'as l'impression de faire ça librement (comme un mariage) mais en fait non, tu te mets la pression tout seul...
Bref, j'ai accepté d'y participer en espérant remplir deux objectifs :
1 - Finir de peindre les figs de la boîte de base de Super Dungeon Explore, Forgotten King.
2 - Finir de peindre mon armée de la Garde Impériale pour Epic Armageddon.

Et bien, je peux fièrement annoncer que l'objectif numéro 1 est rempli avec une dernière fournée de pitoux. Pour ceux que cela intéresse, les précédentes sont , et .
Aujourd'hui, nous avons donc huit minions, une brute et le boss en personne !


Les guerriers ornithorynques - ornithommes dasn le jeu - sont les soldats de base dans Super Dungeon Explore, Forgotten King, de la chair à aventuriers qui sont juste là pour les ralentir et prendre des baffes. Le concept du chevalier ornithorynque est complètement con mais drôle tout comme la tronche impossible de ces figs. Peinture ultra-rapide, sans fioriture.


On a ensuite un lapin bourreau-tueur agressif et qui tape fort. Je l'ai fait blanc parce que...


Bon, une fois la photo prise, je me suis aperçu que j'avais oublié de faire les pattes ><. C'est rattrapé depuis. Pour lui aussi, j'ai été à l'essentiel. Peau blanche, cape verte majoritairement faite à l'aérographe, une grosse lame métal sans rien de particulier et du cuir. Bref, il fait le job, point barre.



Et on finit avec le patron, le boss, le taulier, le roi oublié en personne. Fig superbe, sans trop de détail, un régal à peindre. J'ai conservé le deux principales couleurs des "méchants", le violet e le vert. Bases à l'aéro, fignolage au pinceau !
En terme de jeu, c'est une "chimère" avec des grosses stats, des sorts à lancer, un pouvoir de téléportation, plus les aventuriers ont d'équipements plus il est boosté... une bonne brute donc.




Ce qui me permet de me consacrer à d'autres projets et en particulier à Epic, tu l'auras compris, Compañero, si tu as lu le début.

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

dimanche 21 juin 2020

Dans le garage

Salut à toi, Compañero figuriniste !

On ouvre avec un petit Isis et leur titre Backlit. Sans aucun rapport avec la suite (on ne parlera pas d’Égyptiens...), j'avais juste envie d'écouter ce très bon groupe !


Récemment de passage dans un magasin discount Action, j'ai mis la main sur des petites bagnoles. A vue d'oeil, leur taille semblait coller à du 28mm. Et vu le prix, deux euros pièce, je ne prenais pas un grand risque. Du coup, j'en ai pris quatre !





Ces véhicules ont donc la bonne taille pour un jeu 28mm comme nous le prouve la deuxième photo au-dessus avec la fig pour l'échelle. J'en ai donc fait des décors. Elles pouvaient aller telles quelles si j'avais été feignant. Mais j'ai eu envie de les repeindre pour qu'elles aient un aspect moins cheap, plus usé. Les vitres de la verte et la bleue, à la base sont transparentes mais quand j'ai balancé le vernis, elles se sont totalement opacifiées. Pas grave, le rendu reste sympa.
Allez, photos de mise en situation avec ma table Carnevale recyclée pour Infinity, Nova-Venezia ! La figurine de la Securitate Nomad est là pour l'échelle, ce qui permet de voir que les voitures s’intègrent plutôt bien à l'ensemble.


De gauche à droite, une voiture de police, une muscle car (sûrement fabriquée par un constructeur d'USAriadna...) surnommée Da Bull 77 (petit dessin en freehand sur la portière !) et une bonne grosse bagnole de sport.




Et on continue avec encore un peu d'Infinity et le sympathique Señor Massacre pour mes Nomads.


J'ai repris le schéma bleu/jaune utilisé pour le reste de l'armée à l’exception de la sectorielle Tunguska (schéma orange / noir).







C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

samedi 13 juin 2020

Volant multilingue

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Bien... bien... bien... alors, aujourd'hui point de figurines mais du jeu de plateau. Dont deux assez rigolos. Alors fallait une intro à la hauteur. On va taper dans du très très très con. Voici les Italiens de Nanowar Of Steel (bon, déjà ça pose le truc) avec Ironmonger (le quincaillier pour ceux qui ne maîtrisent pas la langue grand-britonne, donc, on continue dans la même lignée), titre issu de l'album Stairway to Valhalla (et hop, triple combo...). Regardez le clip, vraiment... et bous aurez la totale.



Des jeux de plateau. Trois pour être précis, Similo, Kosmopoli:t et Flyin' Goblin.
Petite précision avant d'entrer dans le vif du sujet. Un "débat" a récemment agité notre petit monde ludique via le Net par rapport aux chroniques faites sur des sites/blogs dont certaines sont "orientées". Ces trois jeux, je les ai payés sur mes propres deniers (enfin, euros...) et par conséquent si je les présente, c'est uniquement parce qu'ils m'ont bien plu...

On commence par le plus simple, Similo Histoire paru chez Gigamix pour le prix de 12 euros.




Le principe est assez simple. Vous avez des cartes sur lesquelles des personnages historiques sont dessinés (comme Cléopâtre et De Vinci sur la boîte) et un des joueurs va devoir faire découvrir un de ses personnages à ses partenaires de jeu. En début de partie, un joueur - que nous appellerons joueur 1 - mélange les cartes et en pioche une. C'est le personnage à faire découvrir. Puis il pioche onze cartes supplémentaires qu'il mélange avec la première avant de les placer devant ses partenaires. Puis, le joueur 1 pioche de nouveau 5 cartes. Il va en utiliser une pour donner un indice aux autres participants en les posant devant eux. Si la carte est placée verticalement, c'est un point commun entre le personnage recherché parmi les douze, si la carte est placée horizontalement, c'est une différence. Le joueur 1 a cinq tours (donc cinq cartes) pour faire deviner le bon personnage. A chaque carte déposée, il en pioche une nouvelle et ses camarades de jeu retirent des personnages de la liste des douze. S'il ne reste que le personnage à trouver sur la table, la partie est gagnée. Si ce personnage est retiré du jeu, c'est une défaite.
Alors, on va pas se mentir, c'est pas le jeu de l'année. Mais, il a des atouts. Sa mécanique  est simple et les parties sont relativement courtes (environ dix minutes) et on peut donc y jouer avec des enfants, même relativement jeunes. Autre avantage, chaque carte de personnage s'accompagne d'un petit texte le présentant. Alors autant, pas mal de gamins auront entendu parler de Jeanne d'Arc ou Napoléon, autant Boadicée et Moctezuma, ça va moins leur parler ! C'est donc une bonne occasion de, ludiquement, leur apporter des connaissances historiques.
Deux petits défauts, tout de même. Le jeu ne contient qu'une trentaine de cartes. J'espère de nouvelles cartes à l'avenir pour avoir plus de choix / difficultés / renouvellement. Il en découle un second défaut, au bout d'une quinzaine de parties, si on joue avec les mêmes partenaires, on connaît les cartes et on choppe des "tips"... qui peuvent parfois se révéler être des mauvais réflexes. Par exemple, avec mes filles, la première carte jouée permet en général de déterminer le sexe du personnage... une fois, je devais faire trouver Cléopâtre et j'avais Toutankhamon en main. Je le pose verticalement (point commun) et, sans surprise, mes gamines ont viré toutes les cartes sur lesquelles figuraient des femmes. Défaite...
A noter qu'il existe deux autres versions Mythes et Contes. Cela permet de gommer en partie les défauts évoqués au-dessus en mélangeant les versions.

On continue dans le jeu "pédagogique" avec Kosmopoli:t (jeux Opla, 24 euros).
Après l'Histoire, les langues vivantes !






Là aussi, le jeu, coopératif, s'explique rapidement. Vous êtes dans un restaurant qui sert des plats du monde entier. Mais, les commandes se font dans la langue d'origine des plats ! Un joueur, casque audio sur la tête et appli ouverte (sur un smartphone ou une tablette), entend les commandes des clients dans diverses langues. Bon, déjà tu te marres quand ton partenaire de jeu commence à parler basque ou papou... de manière approximative ! Un autre joueur incarne le maître d'hôtel et note les tables et le nom des plats... là aussi de manière très approximative ! C'est lui le coordonnateur de l'équipe. Enfin, une à six autres personnes incarnent les serveurs. Ils ont devant eux des cartes avec les plats et les ingrédients constituant ces plats. Une fois la commande énoncée, ils doivent chercher le bon plat et l'ingrédient puis les transmettre au maître d’hôtel qui, lui, les fait passer au serveur qui les valide en cliquant sur son écran.




Le jeu est une vraie réussite. C'est tendu car le temps de service des plats est limité, c'est rigolo car répéter des mots en japonais ou en bekwel (si si, c'est une langue...) quand tu ne parles pas la langue, c'est toujours... huuum... cocasse. D'ailleurs, je me suis rendu à l'évidence ma prononciation du Shanghaihua est approximative... enfin, c'est vraiment un jeu coopératif. Un joueur seul ne peut pas tout faire et prendre l'ascendant sur les autres (comme c'est parfois le cas dans certains jeux) ! Il y a trop de choses à gérer entre l'écoute, noter les plats, chercher les cartes etc. Il est nécessaire de bien s'organiser. De plus, le jeu est évolutif dans le sens où vous allez franchir des niveaux et l'ensemble devient de plus en plus complexe. On est loin, très loin d'avoir épuiser ses possibilités avec mes gamines. Enfin, petite précision, le jeu a été créé par des universitaires (spécialistes des langues, of course) donc autant dire que c'est du sérieux niveau réalisme.
Kosmopoli:t ne vous apprendra pas à parler une nouvelle langue (déjà, si vous retenez quelques mots ce sera bien !) mais c'est une vraie réussite. Il est prenant, fun et on a envie de progresser. La mécanique est simple mais rigolote. Et puis, ça ne gâche rien, pour les enfants, c'est aussi une bonne chose de les habituer à faire "travailler" leur oreille en écoutant des langues étrangères.

On finit par le jeu le plus con mais qui pourrait devenir un incontournable ! Voici venir Flyin' Goblin (Iello, 27 euros) !




Je vais être franc et direct, j'adore et mes gamines aussi. Madame n'en peut plus de nos cris et de notre surexcitation durant les parties ! Dans Flyin' Goblin, vous incarnez un groupe de Gobelins qui assiègent un château. Et chaque faction dispose d'une catapulte pour envoyer ses soldats sur le château assiégé. Oui, physiquement. Vous avez donc des pions en bois que vous posez sur une petite catapulte et BAM !! Vous appuyez sur ledit appareil pour balancer vos pions au travers de la table pour qu'ils arrivent dans/sur le château ! Ce dernier est en fait constitué par la boîte de jeu divisé en 12 parties. La partie centrale représente le donjon et un toit est symbolisé par huit petites tuiles.


En atterrissant dans les pièces du château, les pions gobelins rapportent des pièces et des diamants ou déclenchent des effets (voler un un diamant à un adversaire, faire pivoter le château...). Par exemple, si vous envoyez votre gobelin dans le donjon, c'est trois diamants. Si vous avez fait chuter le roi (symbolisé par un pion posé en haut du donjon en début de partie), vous obtenez un bonus et obtenez cinq diamants dans le cas où votre gobelin finit sa course dans le donjon. Les pièces permettent de recruter de nouveaux gobelins ou de construire un totem composé de quatre étages sur le toit du château. Ces achats sont disponibles dans votre camp, représenté par une petite plaque à côté de votre catapulte.
Comment gagner la partie ? Deux solutions. Obtenir 25 diamants ou réussir à construire son totem sur le toit du château.
Je le redis, Flyn' Goblin est jouissif, une vraie réussite ! C'est le gros bordel autour de la table quand les joueurs bombardent le château de leurs soldats. Cris de joie ou de rage se succèdent ensuite lorsque l'on fait le bilan de la manche. Les parties sont nerveuses et le jeu permet une bonne dose de déconnade ! Et le thème Gobelins débiles est évident plus que raccord avec la manière de jouer et l'ambiance. Si vous avez l'occasion de le tester, n'hésitez pas !


C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

mardi 9 juin 2020

Héros, zéros, ours

Salut à toi, Compañero figuriniste !

Pour se donner un peu d'entrain, on écoute une reprise faite par le collectif métalo-punk du Bal des Enragés avec le standard des Sex Pistols, God Save the Queen car nous allons encore parler de tête couronnée... ou presque.



Super Dungeon Explore, le roi oublié, troisième volet !
J'ai donc poursuivi la peinture des figs de la grosse boite du Roi oublié. Aujourd'hui au programme les Têtes de navet (enfin, carotte... vous comprendrez après...), les chevaliers grenouilles, Boris le pudique (un mini-boss) et les Héros !
Dans le jeu, pour faire simple, les têtes de navets sont les soigneurs des méchants. Bon, perso, j'ai peint le légume qu'ils ont sur l'épaule en orange. Donc, ce seront les Têtes de carottes.


On trouve ensuite l'un des concepts les plus cons, donc génial, qu'il m'a été donné de voir depuis un moment avec les Chevaliers grenouilles. Ce sont donc des grenouilles en armure complète, armées de lances de cavalerie et montées sur des... huuuum... piafs indéfinissables. Attention, malgré un niveau de connerie élevé du concept, ces salo****es frappent fort avec une attaque spéciale puissante qui fait relancer un dé de défense à un adversaire et peut le renverser. Je n'avais pas trop d'idées de comment peindre l'improbable cavalier et sa monture. Alors j'y suis allé au feeling. Les volatiles ont reçu une couche de blanc cassé à l'aéro puis un gros lavis rouge assez dilué. Les bouts des plumes sont peints en rouge ce qui permet une meilleure lecture de la fig. Pour le cavalier, armure oblige, on est sur du métal (couche de base, lavis noir, réhaut). J'ai juste fait varier les couleurs des lances et des tapis de selle pour distinguer les chevaliers les uns des autres. Ainsi, à la manière d'un Bioman, on a le chevalier rouge, le bleu et le vert. Il existe quatre figurines de chevaliers. Malheureusement, la quatrième était pété au niveau du pied (enfin, patte...) d'appui. J'ai réparé en recollant mais j'ai préféré bien laissé sécher. Là, ça tient. Mais du coup, le quatrième chevalier (violet ? jaune ?) a loupé la séance d'aéro. 




Boris est un ours. On dirait... C'est surtout un mini-boss. Et un gros bourrin. Son énorme masse lui permet un attaque dévastatrice accompagnée d'un balayage. Et en plus, il est frénétique ("fou furieux") ce qui lui confère une attaque gratuite au corps-à-corps... bonne nouvelle pour les amateurs de finesse, on peut aussi le jouer du côté des Héros (c'est fluffiquement justifié)  ! La fig est géniale, très réussie. Niveau couleurs, je suis parti sur un pelage marron orangé qui allait bien avec les métaux et un vêtement bleu.




Et on finit avec les Héros, le Protecteur royal, le Chevalier en mission, la Chasseresse de Valtonnerre, la princesse Émeraude et la Fée Alchimiste.


Le Protecteur royal est un humain chasseur de monstres et adepte de l'arbalète. Bon tireur, il peut aussi capturer et immobiliser les ennemis. Pas forcément simple à jouer mais intéressant tactiquement. J'ai globalement suivi le schéma de sa carte pour les couleurs. Tout en noir et regard énervé bleu acier ! J'ai ajouté une petit freehand facile à faire, une couronne sur son sac. C'est quand même un serviteur royal !


Le Chevalier en mission est une boîte de conserve. Comprendre, son point fort, c'est son armure ! Bien protégé, il pourra pourfendre les ennemis avec deux attaques spéciales (une à distance et une au close) bien violentes. Bref, un bourrin qui fonce dans le tas. N'étant pas inspiré plus que ça par la fig, j'ai fait simple. Armure totalement en métal et des touches de bleus (le panache, une partie de la lance). Alors, ça casse pas des briques mais ça fait le taf.


La Chasseresse est une centaure au profil assez équilibré au final même si plutôt offensif (bon déplacement, une attaque spéciale en charge, possibilité de piétiner l'ennemi...). Pour les couleurs, j'ai tenté de rester sur un schéma marron / jaune-blond et un peu de violet. La lance, tordue, n'a pu être redressée malgré mes efforts... Ce perso a été choisie par l'une de mes filles en vue d'une future partie.


La Princesse est l'autre profil de tireur du groupe : une dextérité élevée, une attaque spéciale en tir violente grâce à son flingue qui gèle l’ennemi sur place et une autre grâce à son regard qui intimide l'adversaire (il défausse son meilleur résultat de jet de défense, j'adore !). Pour la couleur, violet dominant et touches de jaune. Elle aussi a été choisie comme personnage par l'une de mes filles pour la partie que nous ferons incessamment sous peu...


Enfin, la fée alchimiste qui est une Elfe. Comme son nom l'indique, elle maîtrise l'alchimie ce qui se traduit dans son profil par des capacités de soutien ou de boost via l'utilisation de potions. Pour la peinture, je m'en suis tenu à une traditionnelle cape verte et des fringues en cuir. Les différentes potions transportées par notre fée ajoutant des touches de couleurs, notamment la grosse bouteille attachée dans son dos ("Oooooranginnaaaaaa !").

Mine de rien, j'ai bien avancé sur ce projet. Il ne me reste désormais à peindre que le chevalier grenouille manquant, huit minions de base qui prennent la forme d'ornithorynques, deux gros lapins tueurs et le Roi Oublié en personne.

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !

mercredi 3 juin 2020

Epic, la suite...

Salut à toi, Compañero figuriniste !

En apéro auditif, les Angelinos de Xibalba (le dieu de la Mort et de la Maladie chez les Mayas, une sorte de cousin de Nurgle quoi...). Alors, attention, tu l'auras compris en voyant la pochette de leur dernier (excellent) album, años en infierno, c'est du gros death-metal, certains d'entre vous risquent de se retrouver dans un coin de la pièce en position fœtale en train de pleurnicher...



Lourdeur, quand tu nous tiens. Je continue mes avancées sur Epic Armageddon. Je pense avoir trouvé la bonne formule. Par rapport au billet précédent, les figs que vous allez voir on reçu un éclaircissement supplémentaires, ce qui donne plus de contraste et une meilleure lecture des figs, et ont été soclées. Le socle, légèrement plus foncé et au bord noir, fait ressortir la fig. Chaque char a aussi reçu un brossage à sec de pigments pour simuler la poussière désertique.
Allez, photos ! Alors évidemment, le nez sur la fig, on voit plein de petits défauts, mais à la fameuse distance de jeu, le rendu me convient.









Pour finir, j'ai "bricolé" un décor-objectif sur le thème de l'armée. Rien d’extraordinaire. L'idée était de voir si le rendu d'un décor DIY était valable, me faire une idée des bâtiments et des pièces à mettre de côté pour fabriques ce genre d'éléments. Du coup, on a un... huuuuum... dépôt de carburant ? Puits de pétrole ? Station de communication ? Le superlourd est là pour l'échelle.




Il me reste encore quelques chars à fignoler et à fixer sur leurs socles avant d'arriver en rupture de stocks desdits socles. Le projet sera donc mis "en sommeil" dans l'attente des supports. Cela dit, c'est pas bien grave, j'ai les figs de Super Dungeon Explore à finir et là, y'a du taf...

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui !
Hasta siempre, Compañeros !