dimanche 16 octobre 2016

Prenons de la hauteur...

Salut à toi, compañero figuriniste !

Cela faisait un petit moment que je n'avais pas posté, la faute à la flemme et un petit manque de motiv'. Aujourd'hui, envolons-nous vers des nouveaux horizons... en musique d'abord.


J'ai récemment acquis, un peu par hasard, le jeu Célestia, édité par BLAM !
C'est un jeu de "stop ou encore" familial avec des très jolies illustrations que nous qualifierons de "poético-steampuk", un croisement entre Jules Verne et Baudelaire (pour le côté poétique planant). 
Le but du jeu est simple : marquer 50 points. Pour marquer ces points, les joueurs constituent l'équipage d'un aéronef. Chacun reçoit une main de 8 cartes. Ils doivent ensuite se défausser de ces cartes afin de progresser de cité volante en cité volante en évitant des obstacles (choisis de façon aléatoire par un tirage de dés). Lorsqu'il descend de l'aéronef, un joueur marque des points en tirant une carte Trésor de la cité correspondante. Évidemment, plus on avance, plus les Trésor ont de valeur mais moins on a de certes en main. Le risque est de donc voir l'aéronef se crasher car on n'est plus en mesure de surmonter les obstacles se dressant sur notre route.  Lorsque l'aéronef se crashe, les joueurs à bord ne marquent aucun point. Puis on débute un nouveau voyage après avoir tiré une carte pour "refaire" (un peu...) sa main.

La boîte de jeu et son illustration poétique très évocatrice.


Une partie du joli matos de jeu, ici les dés désignant les obstacles et les cartes permettant de les surmonter.


Une "table" standard de Célestia avec l'aéronef et son équipage, les neuf cités, les cartes Trésor etc...
Au final, que vaut le jeu (à part une vingtaine d'euros...) ? Et bien, c'est typiquement le genre de jeu parfaitement taillé pour être sorti avec des gosses ou des joueurs occasionnels. Les règles s'apprennent en deux minutes, le matériel est superbe ce qui permet une bonne immersion et la partie est rapide. Mes filles de 9 et 6 ans adorent et nous avons déjà jouer quelques parties. Les joueurs plus chevronnées auront sûrement une impression de déjà-vu ou de facilité mais Célestia reste tout de même un jeu très sympa. Enfin, il vaut mieux y jouer à trois ou quatre joueurs.
A noter, petite cerise "geek" sur le gâteau, les illustrations de certaines cartes Trésor où l'on retrouve  le chat d'Alice ou bien une table basse en forme de Tortue supportant quatre éléphants... les connaisseurs apprécieront.

C'est tout (et c'est déjà pas mal !) pour aujourd'hui.
Hasta siempre, Compañeros !

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